« un des plus grands criminels fut Napoléon »

Je rebondis sur cette ineptie trouvé sur le Blog de Mr Alpern et lui fait part de mon ire à son encontre devant une telle irrévérence vis-à-vis des grands hommes de la Nation.   Je sais que la majorité des gens de votre génération issue de la caste « petit bourgeois »  et qui tua jadis les valeurs paternelles dans l’unique but d’assouvir une libido frénétique, a une fâcheuse tendance aujourd’hui à décrédibiliser l’Histoire de notre République. Le but en soi est des plus clairs : nier l’existence de concept de nation afin de mieux asseoir le pouvoir supra – national et hyper – libéral de Bruxelles. En cela vous rejoignez les mêmes idéaux que Mr Sarkozy…

Je me devais de clarifier certaines choses sur Napoléon. Tout d’abord, s’il n’avait pas était là, la République et son idéal révolutionnaire aurait certainement cesser d’exister. C’est l’ «homme du 18 brumaire» qui a permis le maintien et la préservation de cet héritage… On me rétorquera qu’avec lui, la France a mis à feu et à sang la moitié de l’Europe ! Je répondrai qu’il n’était pas dans ses plans initiaux de faire la guerre à l’Europe entière, mais, malheureusement, les royaumes de Prusse, de Grande –Bretagne et d’ailleurs, ainsi que les empires Austro -Hongrois et Russes commencèrent les hostilités, tant ils étaient effrayés par les idéaux de liberté que véhiculait la Nation Française. Dans son raisonnement Mr Alpern aurait alors dut inclure tous les monarques antagonistes (la coalition, un mot qu’il doit aimer) sinon se taire ! Le coté positif  des campagnes de Napoléon, c’est que les idées de liberté et d’égalité s'exportèrent et  prirent corps dans ces contrées soumises au despotisme, en ce sens, on peut dire que Bonaparte a fait plus pour la liberté des peuples européens que n’en fera jamais l’Union Européenne d’aujourd’hui. C’est même l’inverse, elle tue nos libertés fondamentales sur l’autel de l’ultra –libéralisme, la forme la plus raffinée, donc la plus dangereuse, du fascisme. Il est assez bizarre de voir les ex « soixante huitards » d’hier,  alors épris de liberté  outrancière, se faire les complices aujourd’hui d’une institution liberticide et de critiquer les plus grands serviteurs de la liberté nationale…

Une question ! Quand allez vous vous en prendre au Général Charles De Gaulle ?

PW